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La Vieeeeeeeeeeeeeeeeeeeee est BellE
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La Vieeeeeeeeeeeeeeeeeeeee est BellE

VIP-Blog de JMLBRAHIM
jamal034@hotmail.com

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  • Créé le : 14/06/2005 21:29
    Modifié : 27/10/2013 15:01

    Garçon (26 ans)
    Origine : fes-mar
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    LE MARIAGE

    23/09/2005 22:08

    LE MARIAGE


    Définition religieuse :
    Acte religieux qui consiste à créer un crucifié de plus et une vierge de moins

    Définition juridique :
    Sentence dont le "condamné à perpétuité" est libéré uniquement pour mauvaise conduite

    Définition de la vie courante :
    Aucune femme n'a ce qu'elle espérait et aucun homme n'espérait ce qu'il a

    Définition mathématique :
    Somme d'emmerdes, soustraction de libertés, multiplication de responsabilités, division des biens

    Définition pondérale :
    Méthode la plus rapide pour grossir

    Définition militaire :
    C'est la seule guerre où l'on dort avec l'ennemi

    Définition philosophique :
    Sert à résoudre des problèmes que l'on aurait jamais eu en restant célibataire





    la joie

    23/09/2005 21:54

    la joie


    Quelques grains de muguet

    en ce jour du 1er mai,

    en espérant  qu'il apporte

    plein de joie et de bonheur

                       dans votre coeur.







    L'histoire de Marguerite...

    23/09/2005 21:15

    L'histoire de Marguerite...


    L'histoire de Marguerite...

     

    Voici l'histoire de Marguerite, la petite Fleur Marguerite était très timide. Elle était jonquille, mais elle était très très timide. Elle perdait vite les pétales. En plus elle était très malade. Elle décida d'aller voir un médecin pour fleurs et elle se rendit chez le Dr Bouquet, Corolle Bouquet. (Qui habitait rue Léon Blüm).

     

    - Bonsoir Docteur.

    - Bonsoir Marguerite. Alors que se pistil ma petite Marguerite?

    - J'ai fait des bêtises docteur.

    - Vase? Je vous demande chardon? Quel genre de bêtises?

    - Je me suis myo-sottises!

    - Ce n'est pas grave... Marguerite c'est de ton âge. Toutes les petites fleurs font des sottises!

    - Ce n'est pas tout, docteur!

    - Aaah bon... ?

    - Non, je suis amoureuse de Fanfan la Tulipe et ça me donne des végétations et puis, quand je mange, j'ai du mal à Azalée!... et j'ai les oreilles qui bourgeonnent.

    - Aaaah, ça c'est plus grave... Je vais devoir t'opérer. Quelle heure est-il ?

    - Sécateur docteur.

    - Déjà. Opérons vite!

     

    Hélas, l'opération rata. Marguerite fut paralysée dans la fleur de l'âge et elle resta plantée là ... comme un légume. Elle alla porter plante au commissariat. Chez les flicus. Mais personne ne voulait l'écouter.

    On lui répétait sans cesse `Aaaah mais mademoiselle, il faut accepter les conséquences: cette opération a été réalisée à fleuristes et  périls.´

    Marguerite était très très malheureuse. Elle tenta même de mettre fin à ses jours. Il lui restait pourtant une toute dernière chance: une greffe. Ce fut le docteur Bouquet qui réalisa l'opération et cette dernièr

    L'histoire de Marguerite...

     

    Voici l'histoire de Marguerite, la petite Fleur Marguerite était très timide. Elle était jonquille, mais elle était très très timide. Elle perdait vite les pétales. En plus elle était très malade. Elle décida d'aller voir un médecin pour fleurs et elle se rendit chez le Dr Bouquet, Corolle Bouquet. (Qui habitait rue Léon Blüm).

     

    - Bonsoir Docteur.

    - Bonsoir Marguerite. Alors que se pistil ma petite Marguerite?

    - J'ai fait des bêtises docteur.

    - Vase? Je vous demande chardon? Quel genre de bêtises?

    - Je me suis myo-sottises!

    - Ce n'est pas grave... Marguerite c'est de ton âge. Toutes les petites fleurs font des sottises!

    - Ce n'est pas tout, docteur!

    - Aaah bon... ?

    - Non, je suis amoureuse de Fanfan la Tulipe et ça me donne des végétations et puis, quand je mange, j'ai du mal à Azalée!... et j'ai les oreilles qui bourgeonnent.

    - Aaaah, ça c'est plus grave... Je vais devoir t'opérer. Quelle heure est-il ?

    - Sécateur docteur.

    - Déjà. Opérons vite!

     

    Hélas, l'opération rata. Marguerite fut paralysée dans la fleur de l'âge et elle resta plantée là ... comme un légume. Elle alla porter plante au commissariat. Chez les flicus. Mais personne ne voulait l'écouter.

    On lui répétait sans cesse `Aaaah mais mademoiselle, il faut accepter les conséquences: cette opération a été réalisée à fleuristes et  périls.´

    Marguerite était très très malheureuse. Elle tenta même de mettre fin à ses jours. Il lui restait pourtant une toute dernière chance: une greffe. Ce fut le docteur Bouquet qui réalisa l'opération et cette dernière réussit parfaitement. Marguerite était guérie. Elle redevint pollen de vie, elle put recommencer à jouer à cache-cache-pot et se maria avec  Chris (Chris Anthème) qu'on croyait homo mais qui  était terreau et elle devint graine d'A

    L'histoire de Marguerite...

     

    Voici l'histoire de Marguerite, la petite Fleur Marguerite était très timide. Elle était jonquille, mais elle était très très timide. Elle perdait vite les pétales. En plus elle était très malade. Elle décida d'aller voir un médecin pour fleurs et elle se rendit chez le Dr Bouquet, Corolle Bouquet. (Qui habitait rue Léon Blüm).

     

    - Bonsoir Docteur.

    - Bonsoir Marguerite. Alors que se pistil ma petite Marguerite?

    - J'ai fait des bêtises docteur.

    - Vase? Je vous demande chardon? Quel genre de bêtises?

    - Je me suis myo-sottises!

    - Ce n'est pas grave... Marguerite c'est de ton âge. Toutes les petites fleurs font des sottises!

    - Ce n'est pas tout, docteur!

    - Aaah bon... ?

    - Non, je suis amoureuse de Fanfan la Tulipe et ça me donne des végétations et puis, quand je mange, j'ai du mal à Azalée!... et j'ai les oreilles qui bourgeonnent.

    - Aaaah, ça c'est plus grave... Je vais devoir t'opérer. Quelle heure est-il ?

    - Sécateur docteur.

    - Déjà. Opérons vite!

     

    Hélas, l'opération rata. Marguerite fut paralysée dans la fleur de l'âge et elle resta plantée là ... comme un légume. Elle alla porter plante au commissariat. Chez les flicus. Mais personne ne voulait l'écouter.

    On lui répétait sans cesse `Aaaah mais mademoiselle, il faut accepter les conséquences: cette opération a été réalisée à fleuristes et  périls.´

    Marguerite était très très malheureuse. Elle tenta même de mettre fin à ses jours. Il lui restait pourtant une toute dernière chance: une greffe. Ce fut le docteur Bouquet qui réalisa l'opération et cette dernière réussit parfaitement. Marguerite était gu

    L'histoire de Marguerite...

     

    Voici l'histoire de Marguerite, la petite Fleur Marguerite était très timide. Elle était jonquille, mais elle était très très timide. Elle perdait vite les pétales. En plus elle était très malade. Elle décida d'aller voir un médecin pour fleurs et elle se rendit chez le Dr Bouquet, Corolle Bouquet. (Qui habitait rue Léon Blüm).

     

    - Bonsoir Docteur.

    - Bonsoir Marguerite. Alors que se pistil ma petite Marguerite?

    - J'ai fait des bêtises docteur.

    - Vase? Je vous demande chardon? Quel genre de bêtises?

    - Je me suis myo-sottises!

    - Ce n'est pas grave... Marguerite c'est de ton âge. Toutes les petites fleurs font des sottises!

    - Ce n'est pas tout, docteur!

    - Aaah bon... ?

    - Non, je suis amoureuse de Fanfan la Tulipe et ça me donne des végétations et puis, quand je mange, j'ai du mal à Azalée!... et j'ai les oreilles qui bourgeonnent.

    - Aaaah, ça c'est plus grave... Je vais devoir t'opérer. Quelle heure est-il ?

    - Sécateur docteur.

    - Déjà. Opérons vite!

     

    Hélas, l'opération rata. Marguerite fut paralysée dans la fleur de l'âge et elle resta plantée là ... comme un légume. Elle alla porter plante au commissariat. Chez les flicus. Mais personne ne voulait l'écouter.

    On lui répétait sans cesse `Aaaah mais mademoiselle, il faut accepter les conséquences: cette opération a été réalisée à fleuristes et  périls.´

    Marguerite était très très malheureuse. Elle tenta même de mettre fin à ses jours. Il

    Voici l'histoire de Marguerite, la petite Fleur Marguerite était très timide. Elle était jonquille, mais elle était très très timide. Elle perdait vite les pétales. En plus elle était très malade. Elle décida d'aller voir un médecin pour fleurs et elle se rendit chez le Dr Bouquet, Corolle Bouquet. (Qui habitait rue Léon Blüm).

     

    - Bonsoir Docteur.

    - Bonsoir Marguerite. Alors que se pistil ma petite Marguerite?

    - J'ai fait des bêtises docteur.

    - Vase? Je vous demande chardon? Quel genre de bêtises?

    - Je me suis myo-sottises!

    - Ce n'est pas grave... Marguerite c'est de ton âge. Toutes les petites fleurs font des sottises!

    - Ce n'est pas tout, docteur!

    - Aaah bon... ?

    - Non, je suis amoureuse de Fanfan la Tulipe et ça me donne des végétations et puis, quand je mange, j'ai du mal à Azalée!... et j'ai les oreilles qui bourgeonnent.

    - Aaaah, ça c'est plus grave... Je vais devoir t'opérer. Quelle heure est-il ?

    - Sécateur docteur.

    - Déjà. Opérons vite!

     

    Hélas, l'opération rata. Marguerite fut paralysée dans la fleur de l'âge et elle resta plantée là ... comme un légume. Elle alla porter plante au commissariat. Chez les flicus. Mais personne ne voulait l'écouter.

    On lui répétait sans cesse `Aaaah mais mademoiselle, il faut accepter les conséquences: cette opération a été réalisée à fleuristes et  périls.´

    Marguerite était très très malheureuse. Elle tenta même de mettre fin à ses jours. Il lui restait pourtant une toute dernière chanc

    Voici l'histoire de Marguerite, la petite Fleur Marguerite était très timide. Elle était jonquille, mais elle était très très timide. Elle perdait vite les pétales. En plus elle était très malade. Elle décida d'aller voir un médecin pour fleurs et elle se rendit chez le Dr Bouquet, Corolle Bouquet. (Qui habitait rue Léon Blüm).

     

    - Bonsoir Docteur.

    - Bonsoir Marguerite. Alors que se pistil ma petite Marguerite?

    - J'ai fait des bêtises docteur.

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    - Ce n'est pas grave... Marguerite c'est de ton âge. Toutes les petites fleurs font des sottises!

    - Ce n'est pas tout, docteur!

    - Aaah bon... ?

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    - Aaaah, ça c'est plus grave... Je vais devoir t'opérer. Quelle heure est-il ?

    - Sécateur docteur.

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    Hélas, l'opération rata. Marguerite fut paralysée dans la fleur de l'âge et elle resta plantée là ... comme un légume. Elle alla porter plante au commissariat. Chez les flicus. Mais personne ne voulait l'écouter.

    On lui répétait sans cesse `Aaaah mais mademoiselle, il faut accepter les conséquences: cette opération a été réalisée à fleuristes et  périls.´

    Marguerite était très très malheureuse. Elle tenta même de mettre fin à ses jours. Ieglhyt lui restait pourtant une toute dernière chance: une greffe. Ce fut le docteur Bouquet qui réalisaehgg'(ful,, l'opération et cette dernière réussit parfaitement. Marguerite était guérie. Elle redevint pollen de vie, elle put recommencer à jouer à cache-cache-pot et se maria avec  Chris (Chris Anthème) qu'on croyait homo mais qui  était terreau et elle devint graine d'Angleterre. Car Chris Anthème était engrais. Marguerite fut heureuse

    pour des siècles et des cyclamens. On peut dire qu'elle a eu du pot....

    e: une greffe. Ce fut le docteur Bouquet qui réalisa l'opération et cette dernière réussit parfaitement. Marguerite était guérie. Elle redevint pollen de vie, elle put recommencer à jouer à cache-cache-pot et se maria avec  Chris (Chris Anthème) qu'on croyait homo mais qui  était terreau et elle devint graine d'Angleterre. Car Chris Anthème était engrais. Marguerite fut heureuse

    pour des siècles et des cyclamens. On peut dire qu'elle a eu du pot....

     lui restait pourtant une toute dernière chance: une greffe. Ce fut le docteur Bouquet qui réalisa l'opération et cette dernière réussit parfaitement. Marguerite était guérie. Elle redevint pollen de vie, elle put recommencer à jouer à cache-cache-pot et se maria avec  Chris (Chris Anthème) qu'on croyait homo mais qui  était terreau et elle devint graine d'Angleterre. Car Chris Anthème était engrais. Marguerite fut heureuse

    pour des siècles et des cyclamens. On peut dire qu'elle a eu du pot....

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    pour des siècles et des cyclamens. On peut dire qu'elle a eu du pot....

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    pour des siècles et des cyclamens. On peut dire qu'elle a eu du pot....






    Épouses du Prophète

    21/09/2005 18:28

    Épouses du Prophète


    Le Prophète, du point de vue mariage, avait des privilèges que les autres croyants n’avaient pas. Ainsi Dieu déclara licite le nombre d’épouses dotées par son Envoyé et énuméra les alliances conjugales qu’il pouvait contracter. L’autre privilège concernait le douaire sans lequel le mariage, en droit musulman, est nul. Par cette expression " qui offre elle-même sa main ", le Seigneur exemptait son Messager de cette dotation : "Ô toi, le Prophète. Nous avons déclaré licite pour toi les épouses auxquelles tu as donné leur douaire, les filles de ton oncle maternel, les filles de tes tantes maternelles -celles qui avaient émigré avec toi-ainsi que toute croyante qui se serait donnée au Prophète, pourvu que le Prophète ait voulu l’épouser. Ceci est un privilège qui t’est accordé, à l’exclusion des autres croyants" (S. XXXIII, 50).

    Par contre, Dieu interdit au Prophète et par voie de conséquence à tous les Musulmans la pratique païenne des Arabes qui échangeaient leurs femmes définitivement ou temporairement comme Il lui avait interdit de prendre d’autres femmes autres que celles qu’il avait déjà épousées avant cette révélation : " Il ne t’est plus permis de changer d’épouses ni de prendre d’autres femmes, en dehors de tes esclaves même si tu es charmé par la beauté de certaines d’entre elles. -Dieu voit parfaitement toute chose " (S. XXXIII, 52).

    Avant la prédication, à l’âge de vingt-cinq ans, le Prophète se maria à la veuve Khadija, fille de Khuwailid, son aînée de quinze ans. Il eut trois fils qui moururent en bas âge et quatre filles : Zainab, Ruqayya, Umm Kaltoum et Fatima. Il resta monogame jusqu’à la mort de Khadija. Il épousa par la suite, à différentes périodes, neuf femmes dont nous donnons une très brève biographie.

    1 - Aïsha, fille d’Abu Bakr. Elle fut promise au Prophète quand elle avait à peine sept ans. Elle fut sa préférée. Nous lui devons l’énoncé d’un grand nombre de Hadith. Elle est la seule dont le Coran parle à la suite de ce qui est appelé l’affaire du collier. Elle rendit l’âme en 57 de l’Hégire.

    2 - Hafsa, fille d’Omar. Elle fut veuve à l’âge de vingt-deux ans de Khumaï ibn Hudhafa qui mourut à la bataille d’Uhud. Contrairement à la grande majorité des femmes de son époque, elle savait lire et écrire.

    3 - Umm Habiba, fille d’Abu Sufyan. Elle était précédemment marié à ’Ubaidallah ibn Jahch et l’accompagna en Abyssinie lors de la première émigration. Elle quitta son époux qui avait embrassé le christianisme. Au moment de son mariage, son père était encore un farouche adversaire de l’Islam.

    4 - Sawda, fille de Zama’. Elle était d’abord mariée à as-Sukran ibn ’Am. Elle émigra en Abyssinie pour échapper aux persécutions des païens qoraïshites. Elle avait cinquante ans lors de son mariage avec le Prophète. Elle mourut sous le règne d’Omar.

    5 - Umm Salama, fille d’Abu Umayya et proche parente de Khalid ibn Walid surnommé par le Prophète " l’épée de Dieu ". C’était une femme cultivée pour l’époque et écrivait des poèmes. Elle s’expatria en Abyssinie avec son premier mari nommé Abu Salama qui trouva la mort à la bataille d’Uhud. Elle fut rappelée à Dieu en l’an 61 de l’Hégire.

    6 - Zaïnab, fille de Jahch, cousine du Prophète, précédemment marié à Zaïd ibn Haritha, esclave affranchi et fils adoptif de l’Envoyé de Dieu. Les circonstances du mariage, qui eut lieu en l’an trois de l’Hégire, sont décrites dans le chapitre relatif à l’adoption. Sa mort remonte à l’an 20 de l’Hégire.

    7 - Juwaïriyya, fille d’al Harith, chef païen de la tribu des Banu Mustaliq qui, à la tête de sa tribu, fut battu par les troupes musulmanes. Juwaïriyya figurait parmi les captifs. Elle se convertit à l’Islam et demanda au Prophète de l’aider à payer sa rançon en échange de sa libération. Le Messager de Dieu lui proposa de devenir son épouse, demande qu’elle accepta. Elle décéda en l’an 57 de l’Hégire.

    8 - Safiya, juive de Khaïbar, convertie à l’Islam. Le Prophète l’épousa en l’an 7 de l’Hégire après la reddition de sa tribu.

    9 - Maymuma, fille d’al-Harith, autre que celui précédemment cité. Ell était veuve et âgée de trente-six ans au moment de son mariage qui eu lieu en l’an 7 de l’Hégire, une année après la trêve de Hudalbiya.

    Le Prophète eut également deux concubines citées par la tradition Raïhana qui était juive convertie à l’Islam, et Maria, d’origine copte qui lui donna un fils nommé Ibrahim lequel mourut en bas âge.

    A propos de tous ces mariages, Muhammad Hamidullah donne cette explication : "...d’après le Qur’ân, quatre est le nombre maximum de femmes qu’un Musulman a le droit de réunir en mariage. Le Prophète ne se sentait jamais au-dessus des lois qu’il énonçait. Pourquoi donc eut-il plus de liberté dans cette matière ? Était-ce un privilège particulier, basé su les révélations divines ? Le Qur’ân n’en parle pas ; et les traditions, basées sur les paroles du Prophète, ne renferment rien non plus sur ce point, que je sache. Reste une autre possibilité : la restriction du nombre d’épouse serait une décision postérieure à sa dernière célébration de mariage. Le faits ne contredisent pas cette hypothèse. "

    Les scènes de ménage n’épargnaient pas la maison du Prophète, scènes parfois envenimées par la jalousie d’Aïsha. Elles avaient à un moment donné si exaspéré l’Envoyé de Dieu qu’il décida de se séparer de ses épouses pendant un mois avant de les reprendre. Une révélation énonça à cet effet les droits du Prophète en la matière : "Il n’y a pas de reproche à te faire si tu fais attendre celle d’entre elles que tu voudras et si tu recherches de nouveau quelques-unes de celles que tu avais écartées. Voilà ce qui est le plus propre à les réjouir, à leur ôter tout sujet de tristesse afin que toutes soient contentes de ce que tu leur accordes. -Dieu connaît le contenu de vos coeurs. Dieu sait tout et il est plein de mansuétude " (S. XXXIII, 51).

    Les femmes du Prophète se montraient parfois exigeantes. Les expéditions avaient procuré aux Musulmans un butin considérable qui avait permis d’élever leur niveau de vie. Les épouses du Messager de Dieu ne recevaient pas les mêmes avantages que les autres femmes ; elles enviaient alors les beaux vêtements de ces dernières et, d’une façon générale, I’élévation de leur niveau social. Dieu les plaça devant le dilemme suivant : vivre dans l’opulence, et dans ce cas, elles devaient consentir à divorcer après avoir reçu tous les moyens matériels les autorisant à jouir des bienfaits de ce monde, ou bien, demeurer les épouses du Prophète mais accepter leurs conditions actuelles avec la certitude de bénéficier d’une belle récompense dans l’au-delà : " Ô Prophète ! Dis à tes épouses : si vous désirez la vie de ce monde et son faste, venez : je vous procurerai quelques avantages puis je vous donnerai un généreux congé. Si vous recherchez Dieu, son Prophète et la demeure dernière, sachez que Dieu a préparé une récompense sans limites pour celles d’entre vous qui font le bien" (S. XXXIII, 28, 29). Toutes les épouses optèrent pour la seconde solution.

    Les épouses du Prophète étaient tenues d’avoir une conduite exemplaire et de soigner leur langage afin d’éviter les mauvaises interprétations que les débauchés et les malintentionnés tireraient de leurs propos : " Ô vous, les femmes du Prophète ! Vous n’êtes pas comparables à aucune autre femme Si vous êtes pieuses, ne vous rabaissez pas dans vos propos afin que celui dont le coeur est malade ne vous convoite pas. Usez d’un langage convenable" (S. XXXIII, 32).

    Dieu leur ordonna d’être dignes et de s’abstenir de toute forme de coquetterie qui rappellerait les moeurs des femmes du paganisme. Il leur était recommandé l’obéissance à Dieu et à son Prophète, ce qui les aidera à s’éloigner de toute imperfection. Cette recommandation s’adressait également à toute la famille du Prophète : " Restez dans vos maisons, ne vous montrez pas dans vos atours comme le faisaient les femmes du temps de l’ancienne ignorance. Acquittez-vous de la prière ; faites l’aumône, obéissez à Dieu et à son Prophète : o vous, les gens de la Maison ! Dieu veut seulement éloigner de vous la souillure et vous purifier totalement,"

    "Souvenez-vous des versets de Dieu et de la Sagesse qui vous ont été récités dans vos maisons. Dieu est, en vérité, subtil et bien informé" (S. XXXIII, 33, 34).

    Dieu leur ordonna aussi la discrétion ; elles ne devaient pas dévoiler les secrets révélés au Prophète comme ce fut le cas de l’une d’elles, Hafsa qui ébruita un fait qui n’aurait pas dû l’être : "Lorsque le Prophète confia un secret à l’une de ses épouses et qu’elle le communiqua à sa compagne, Dieu en informa le Prophète, celui-ci en dévoila une partie et garda l’autre cachée. Lorsqu’il l’eut avertie de son indiscrétion, elle dit : qui donc t’a mis au courant ? Il répondit : Celui qui sait tout et qui est bien informé m’en a avisé " (S. LXVI, 3).

    En leur qualité d’épouses du Prophète, Dieu avait prévu pour elles une double peine pour toutes infractions aux préceptes de l’Islam, comparée la sanction réservée aux autres croyants pour la même faute. Inversement une double récompense leur avait été promise si elles se soumettaient fidèlement aux injonctions de Dieu et de son Prophète : " Ô vous, les femmes du Prophète ! Celle d’entre vous qui se rendra coupable d’une turpitude manifeste, recevra deux fois le double du châtiment. Cela est facile pour Dieu. Et nous accorderons une double récompense à celle d’entre vous qui est dévouée envers Dieu et son Prophète, à celle qui fait le bien, et nous lui avons préparé une noble part " (S. XXXIII, 30, 31).






    La notion d’Esprit

    21/09/2005 18:25

    La notion d’Esprit


     

    Les docteurs musulmans font une distinction entre le vocable " âme " traduit par " nafs " et celui de " rûh " qui définit tantôt " Esprit ", tantôt " Souffle. " L’un a un caractère charnel, matériel, corporel. L’autre revêt un sens spirituel, immatériel. C’est le second aspect du terme que nous étudierons.

    Dans le Coran, l’expression " Esprit fidèle " est attribuée à l’ange Gabriel en sa qualité d’intermédiaire entre Dieu et le Prophète quant à la communication de la Révélation : " Oui, le Coran est une Révélation du Seigneur des mondes ; -l’Esprit fidèle est descendu avec lui sur ton coeur pour que tu sois au nombre des avertisseurs " (S. XXVI, 192, 193, 194).

    Gabriel, étant l’ange de la Révélation, Dieu l’envoyait aux serviteurs choisis par Lui pour en faire des avertisseurs auprès des hommes : " L’Esprit provient de son Commandement, il le lance sur qui il veut parmi ses serviteurs avec la mission d’avertir les hommes " (S. XL, 15).

    Le mot s’applique également au même ange quand celui-ci apparut sous une forme humaine à Marie, mère de Jésus : " Nous lui avons envoyé notre Esprit ; il se présenta devant elle sous la forme d’un homme parfait " (S. XIX, 17).

    " L’Esprit de sainteté " est aussi une dénomination de l’ange Gabriel désigné par Dieu pour assister Jésus dans sa mission : " Nous avons accordé des preuves incontestables à Jésus, fils de Marie, et nous l’avons fortifié par l’Esprit de Sainteté " (S. II, 87 et 253), " O Jésus, fils de Marie... Je t’ai fortifié par l’Esprit de Sainteté " (S. V, 110).

    Le terme " Esprit " revient dans le Coran pour désigner le Souffle divin qui avait donné vie à Adam : " Après que je l’aurai harmonieusement formé, et quand j’aurai insufflé en lui de mon esprit " (S. XV, 29).

    Il est encore utilisé dans le sens de " Souffle " quant à la conception de Jésus, celui-ci étant le " Verbe de Dieu " (kalimatu-hu) : " Sa parole qu’il a jetée en Marie " (S. IV, 171). " Et celle qui était restée vierge... nous lui avons insufflé de notre Esprit. Nous avons fait d’elle et de son fils un Signe pour les mondes " (S. XXI, 91). Notons que Dieu ne dit pas " fils ", mais " fils de Marie ", expression qui revient chaque fois qu’il est question de Jésus.

    Comme nous l’avons indiqué, la définition traditionnelle de " Esprit fidèle " et " Esprit de Sainteté " se réfère à l’ange Gabriel. Ibn Sinâ, par contre, fait une distinction entre les deux expressions. En ce qui le concerne, " Esprit de Sainteté " est bien de l’ordre des Chérubins, quant à " Esprit fidèle ", d’un rang inférieur, est de l’ordre des " substances spirituelles immuables ".

     

    Extrait du "Dictionnaire élémentaire de l’Islam"

    Tahar Gaïd est né le 22 octobre 1929 à Timengache, Beni Yala (Wilaya de Sétif). Après des études aux médersas de Constantine et d’Alger, il exerce la fonction d’enseignant à Tighanif, près de Mascara, puis à Alger.

    Militant du PPA/MTLD, il participe à la lutte pour la libération nationale. Il prend l’initiative d’organiser des cellules FLN à Tihganif, anciennement Palikao. Arrêté en mai 1956, il est détenu pendant six années consécutives dans les prisons et les camps d’internements en Algérie.

    Dès 1963, il opte pour la carrière diplomatique en qualité d’ambassadeur dans plusieurs pays africains. En 1978, il cesse toute activité administrative.

    A partir de 1980, il se consacre dès lors aux aspects théoriques et pratiques de l’Islam. Il se signale par la publication du Dictionnaire élémentaires de l’Islam (OPU). Il est aussi l’auteur d’autres livres dont Réalités universselles de l’Islam( OPU ) et Religion et Politique en Islam (aux éditions Bouchene)

    Parallèlement à ces écrits, il publie à L’OPU un lexique






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